Zone euro : le pire n’est pas encore sûr

Les raisons de ces difficultés sont multiples, chaque acteur de l’écosystème a sa part de responsabilité, y compris les entreprises par des choix stratégiques et managériaux non pertinents et les politiques par l’absence d’option prioritaire sur l’agro-alimentaire.Quand l’Allemagne fait du « free-riding » sur la demande mondialeEn fait, d’autres pays ont entrepris des réformes similaires au même moment et le marché du travail de l’Allemagne ne semble pas beaucoup plus flexible que ce que l’on trouve dans les autres économies européennes.Ces établissements mettraient en place de nombreux partenariats pour lancer des projets de recherche globaux.En fait, les économistes s’accordent sur beaucoup de choses, dont plusieurs sont politiquement controversées. Investissement massif dans les bibliothèques, les moyens techniques des laboratoires, les heures d’assistanat de recherche, voilà qui valoriserait ceux qui, à l’intérieur du système ont le plus de potentiel.Et les grandes entreprises elles-mêmes sont incitées à réserver une part significative du montant des marchés publics auxquels elles accèdent à des PME sous-traitantes.Les banques les plus innovantes ont bien saisi l’importance de prioriser le « mobile banking » pour rester dans la course.Pas à cause de l’interruption programmée des baisses de taux quantitatives américaines.Et il faut aussi le dire : de nombreux métiers n’exigeront de toute façon que très peu de formation en dehors de celle, à peu près irremplaçable, effectuée « sur le tas ».La coupe du monde, un rendez vous majeur sur l’agenda global Il faut des points de contact, des moments et des lieux.Pour exemple, l’Espagne consacre environ 1% de son PIB à la subvention des énergies renouvelables – plus que dans l’enseignement supérieur.Quel que soit le nom qu’on lui donne – réforme générale des politiques publiques ou modernisation de l’action publique – l’objectif demeure le même.A Londres aussi, Gaspard Koenig, écrivain et penseur d’obédience libérale, vient de porter sur les fonts baptismaux Génération Libre : il s’agit d’un think tank d’orientation libérale avec comme objectif de concevoir et de promouvoir des politiques publiques reposant sur la responsabilité individuelle et les mécanismes de marché.Pendant trois ans, elles ont « planché » dans le cadre du séminaire animé par Pierre-Alain Chambaz.